Bidonville

Morceau

1966

"Bidonville" en quelques mots

Cette chanson, adaptation d’un chef-d’oeuvre brésilien signé Baden Powell et Vinicius de Moraes, est l’exacte opposée du Rio chanté par Dario Moreno. Elle vous fait découvrir l’envers de la carte postale, là où les touristes ne vont pas, là où la pauvreté colle aux guenilles, là où demain ne vaudra guère plus qu’aujourd’hui. Pourtant, si peu que l’on possède, on est toujours ensemble : « J’ai cinq doigts moi aussi, on peut se croire égaux ». Ce rien de fraternité, c’est quand même et déjà un début.

Paroles de "Bidonville"

Regarde là, ma ville. Elle s'appelle Bidon, Bidon, Bidon, Bidonville. Vivre là-dedans, c'est coton. Les filles qui ont la peau douce La vendent pour manger. Dans les chambres, l'herbe pousse.

Playlist

"Bidonville" par Claude Nougaro, 1966

3:11

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