Morceau
Potier, Eugène de son prénom, est l’homme qui écrivit l’Internationale. Clément, Jean-Baptiste, est le père du « Temps des Cerises ». Deux chansons chargées d’histoire et d’avenir, à jamais associées à la tragédie de la Commune de Paris. Cette révolte des petits contre les riches et puissants amorçait en 1870 un début de révolution qui allait inspirer toutes celles à venir. La Troupe tira sur le peuple. La Commune finit en massacre. La musique lyrique et solennelle est naturellement voulue par Ferrat comme un hommage digne rendu aux combattants et victimes, à l’heure où l’on célébrait le centenaire de cette insurrection.
Il y a cent ans commun commune Comme un espoir mis en chantier Ils se levèrent pour la Commune En écoutant chanter Potier Il y a cent ans commun commune Comme une étoile au firmament…
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