Morceau
Brassens évoque une fois encore l’amour de sa vie, mais sur un ton presque badin cette fois. On jugerait le propos anecdotique… Il dit en réalité la femme dans sa plénitude d’être humain, qu’on ne saurait réduire à ses seuls attraits physiques.
Sans ses cheveux qui volent J'aurais, dorénavant Des difficultés folles A voir d'où vient le vent Refrain: Tout est bon chez elle, y a rien à jeter Sur l'île déserte il faut tout…
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