La péninsule supérieure n’héberge que 3% de la population de Michigan. Et sur le reste du territoire ? Des lacs, des forêts, du vide… A tel point que Sufjan imagine que la communauté de Paradise ait perdu tous ses hommes à la guerre. Un monde très paisible, trop paisible, dont le récit dresse le portrait intimiste.
L’instrument marquant dans cette chanson, et dans beaucoup des chansons de Sufjan Stevens, est le banjo. Ce cousin de la guitare est pour beaucoup l’instrument typique de l’Amérique rurale, joué par les farmers et cowboys.
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Texte sur Michigan, ?
Texte sur le concept de l’album, sur la péninsule inférieure, la vie dans les zones ruraux, …
The Upper Peninsula of Michigan is separated from the rest of the state by Lake Michigan. Despite it’s size, the U.P. is mostly rural, houses only 3% of the state’s total population and has a average population density of 19 people / sq mi
There could be a connection to “Flint (For the Unemployed and Underpaid)” and “Detroit, Lift Up Your Weary Head!”, or at least a running motif throughout the album. Stevens explores the plight of the working class, blue collar American with compassion and empathy.
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Les cloches que l’on entend dans cette chanson font penser à Noël, mais elles évoquent les chutes du Tahquamenon, situées à côté de Paradise et du Lac Supérieur. Même cette destination touristique contient un élément sinistre : le Tahquamenon est une rivière à eux noires, brunie par les feuilles mortes et plantes pourries sur ses rives.
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Les thèmes religieux sont partout chez Sufjan. Les villages qu’il nomme dans le titre de cette chanson sont tous des “god-forsaken holes”, des coins perdus délaissés par Dieu comme on dit en anglais. En lien avec le sujet général de l’album, le narrateur de cette chanson implore les cieux de l’aider dans sa vie dure et sans espoir.