Chanteuse et photographe suisse, Charline Mignot est née en 1995 à Genève (Suisse). Elle choisit le pseudonyme de « Vendredi sur Mer » pour son projet de musique électro-pop à base de chanté-parlé qui se concrétise par la sortie d’un premier EP « Marée basse » en 2017. Deux ans plus tard, cette figure montante de la scène francophone sort son premier album : “Premiers Émois”.

2017 : année de changement de présidence en France, qui frôlera la victoire de l’extrême droite (suivant une tendance électorale en Europe), sur fond d’attentats et de risques terroristes. L’année se terminera par le décès d’une star du rock français, Johnny Hallyday. Au niveau mondial, c’est une année marquée par un président américain Donald Trump, hypermédiatisé, aux mesures politiques controversées ; des attentats terroristes à l’échelle internationale, des tempêtes dévastatrices en Atlantique nord, la chute de l’Etat islamique en Syrie et en Irak… bref, une période trouble et violente qui a grandement besoin de musique et de rêve.

La chanson débute avec un motif de synthétiseur rétro joué en boucle. A cela s’ajoute la voix de Vendredi sur Mer, à la fois décidée et nonchalante.
« Les filles désir » représente tout l’univers de Vendredi sur Mer : une musique électro-pop vintage, du chanté-parlé et un beat qui groove. Le synthétiseur donne une couleur mélancolique à cette chanson d’amour passionnel de désillusion. Les paroles sont comme la voix-off d’une histoire d’amour entre deux filles, histoire de désir et de déception. Un amour passionnel embrouillé, qui se termine sur une résolution : « il y en a plein des filles désir ».
A 24 ans, Vendredi sur Mer fait partie de cette nouvelle génération d’artistes qui parle d’amour en toute liberté et que nous retrouvons à l’affiche de tous les festivals !